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L’Heure du Monde

Author: Le Monde

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Tous les matins du lundi au vendredi, Jean-Guillaume Santi reçoit un journaliste de la rédaction du "Monde" pour bien comprendre les enjeux de l'actualité.


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1068 Episodes
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Après une naissance virtuelle, une croissance progressive tout au long de l’été sur les réseaux sociaux et dans les médias, le mouvement Bloquons tout a pris corps dans les rues, mercredi 10 septembre.550 rassemblements, 262 blocages recensés partout en France et 175 000 manifestants selon le ministère de l’intérieur, tandis que la CGT en a comptabilisé 80 000 de plus. Le ministère a également fait état de situations « particulièrement tendues » avec « des prises à partie de forces de l’ordre » à Rennes, Nantes ou encore Paris, et a procédé à l’interpellation de 473 personnes.Malgré un éparpillement manifeste et visible dès les origines en ligne, les mots d’ordre se sont répondu d’un bout à l’autre de l’Hexagone – qu’ils concernent l’augmentation des salaires et du pouvoir d’achat, la remise en cause du montant des aides versées par l’Etat aux entreprises ou plus globalement la politique d’Emmanuel Macron.Faut-il voir dans Bloquons tout le 10 septembre le début d’un grand mouvement de contestation sociale ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Michaël Szadkowski, journaliste au service Pixels du Monde, nous aide à comprendre les origines du mouvement et les profils de ses adeptes, et Aline Leclerc, journaliste au service économie du Monde, revient sur les causes – variées et anciennes – de cette colère sociale.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits de sons envoyés par plusieurs journalistes du « Monde » mobilisés sur le terrain le 10 septembre, Gilles Rof, Benjamin Keltz et Sylvia Zappi ; d’un reportage de l’AFP réalisé le 10 septembre 2025 ; de deux conférences de presse, l’une tenue par François Bayrou le 15 juillet 2025, et l’autre par Bruno Retailleau le 10 septembre 2025.Cet épisode a été publié le 12 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frPour assister à un enregistrement de L'Heure du Monde en direct, le jeudi 18 septembre, inscrivez-vous ici. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Il a seulement 38 ans et c’est pourtant le doyen du gouvernement avec huit années cumulées au sein de gouvernements d’Emmanuel Macron. Mardi 9 septembre, Sébastien Lecornu a été nommé premier ministre, seulement vingt-quatre heures après le vote de confiance qui a vu chuter François Bayrou.Une promotion éclair pour ce fidèle parmi les fidèles du président de la République mais qui risque de susciter le mécontentement des oppositions. Car si Sébastien Lecornu est perçu comme un « fin manœuvrier » et déclare vouloir dialoguer avec tous les partis, il reste un pur produit du macronisme, alors que les Français n’ont pas donné de majorité au camp présidentiel aux législatives de juin 2024.L’ancien ministre des armées est-il donc un bon choix face à une équation politique qui se complique de mois en mois ? Peut-il faire face à la crise parlementaire qui s’annonce, mais aussi à l’automne de la contestation sociale qui démarre avec le mouvement « Bloquons tout ».Elements de réponse dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde » avec Mariama Darame, journaliste au service politique du Monde chargée de l’exécutif.Un épisode de Garance Munoz et Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Amandine Robillard. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.Cet épisode a été publié le 10 septembre 2025.---Assistez à l'enregistrement d'un épisode de L'Heure du Monde en live le jeudi 18 septembre : festival.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Depuis l’arrivée en 2017 d’Alexandre Bompard (ancien PDG de la Fnac et d’Europe 1) à la tête du groupe Carrefour, une stratégie d’entreprise très contestée a été mise en place : le passage en « location-gérance » d’un grand nombre de magasins.A travers ce système, des supermarchés et hypermarchés sortent du giron du groupe Carrefour et leur exploitation est confiée à des locataires gérants, qui louent les murs et rémunèrent directement les salariés. De l’extérieur pourtant, aucune différence : les magasins sont toujours estampillés Carrefour en échange d’une redevance versée au groupe par l’exploitant pour l’utilisation de la marque.Une opération transparente et invisible pour le consommateur mais qui a de lourdes conséquences pour les 27 000 salariés des 344 magasins sortis du groupe. Ceux-ci perdent souvent leurs primes et avantages et voient leurs conditions de travail se dégrader.La CFDT parle d’un plan social déguisé permettant à Carrefour d’alléger ses effectifs et a saisi la justice. La direction du groupe répond que, contrairement à d’autres groupes de la grande distribution, cette stratégie leur permet de sauver les magasins et donc des emplois.Comment en est-on arrivé là à Carrefour ? Qu’est ce système de location-gérance et qu’implique-t-il pour le groupe et ses salariés ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Aline Leclerc, journaliste au service économie du Monde, explique les arcanes de la location-gérance dans la grande distribution.Un épisode de Cyrielle Bedu, réalisé par Quentin Tenaud et Florentin Baume. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : sonore d’une salariée de Carrefour, extrait de l’intervention d’Alexandre Bompard auprès de la commission d’enquête sur l’utilisation des aides publiques aux grandes entreprises le 31 mars 2025 ; archive INA de l’ouverture du supermarché Carrefour de Villeurbane en 1964.Cet épisode a été publié le 10 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frAssistez à l'enregistrement d'un épisode de L'Heure du Monde en live le jeudi 18 septembre : festival.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Pour la première fois de l’histoire de la Vᵉ République, un gouvernement tombe lors d’un vote de confiance : 364 députés ont voté contre, 194 pour, ce lundi 8 septembre. Le premier ministre François Bayrou doit désormais remettre la démission de son gouvernement au président Emmanuel Macron, qui a promis de nommer son successeur « dans les tout prochains jours ».Si cette issue était largement attendue, le flou demeure quant aux choix à venir du président. Une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale, comme le demande le Rassemblement national, ou bien sa propre démission, comment le demande La France insoumise, sont-elles sur la table ? Quelles sont les prochaines étapes pour retrouver un gouvernement ?Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Abel Mestre, chef adjoint au service Politique du Monde et Robin Richardot, chargé du suivi de l’Assemblée nationale, examinent cette séquence politique historique.Un épisode d’Adélaïde Tenaglia et Garance Muñoz. Réalisation : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait du discours du premier ministre François Bayrou, le 8 septembre 2025 à l’Assemblée nationale.Cet épisode a été publié le 9 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frPour assister à un enregistrement de L'Heure du Monde en direct, le jeudi 18 septembre, inscrivez-vous ici. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
François Bayrou sera-t-il encore premier ministre lundi 8 septembre au soir ? Rien n’est moins sûr, tant le vote de confiance qu’il a demandé et qui engage la responsabilité de son gouvernement est sous le feu des critiques.En recourant à l’article 49 alinéa 1 de la Constitution, le chef du gouvernement lie le sort de son gouvernement au plan d’économies de 44 milliards d’euros qu’il a présenté aux Français le 15 juillet. Si le premier ministre demande aux députés de se prononcer sur l’urgence d’agir face à la dette publique et non sur les mesures proposées, les oppositions, qui se sentent peu considérées par Matignon, devraient tout de même ne pas voter la confiance, comme l’ont annoncé le Rassemblement national et le Parti socialiste.Pourquoi François Bayrou a-t-il opté pour cette stratégie si risquée pour son avenir politique et pour la stabilité du pays, de nouveau menacé de se retrouver sans gouvernement, un an après la dissolution ? Nathalie Segaunes, qui couvre l’exécutif au service politique du Monde, nous explique les raisons du coup de poker du premier ministre.Un épisode de Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extrait d’une vidéo de François Bayrou sur sa chaîne YouTube, publiée le 5 août 2025 ; extrait de la conférence de rentrée de François Bayrou, le 25 août 2025.Cet épisode a été publié le 8 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
L’Afghanistan a été frappé par le pire séisme de son histoire récente. Selon le dernier bilan des autorités talibanes, plus de 2.200 personnes ont été tuées, près de 4.000 blessées et environ 7.000 maisons se sont effondrées.Eboulements et glissements de terrain compliquent toujours l’accès aux zones les plus reculées. Ce séisme de magnitude 6, survenu le 31 août, a été suivi de plusieurs répliques, dans l’Est du pays. Au-delà de la difficulté d’accès dans cette région montagneuse, l’aide humanitaire est aussi entravée par le contexte politique. Les talibans, au pouvoir depuis août 2021, ont instauré un régime autoritaire et plongé le pays dans la terreur. Parmi les victimes du séisme, les femmes et les filles figurent parmi les plus touchées selon l'ONU. Les sauveteurs hommes n’ont pas le droit de les toucher, même pour les soigner.Pour comprendre comment le régime taliban met la vie des femmes en péril, nous vous proposons d’écouter un épisode de "L'Heure du Monde" enregistré en mars 2025 avec Jacques Follorou, grand reporter au "Monde". Il s’est rendu en Afghanistan pour rendre compte du quotidien des femmes, et son récit permet d’éclairer la situation tragique qui attend les femmes après ce séisme dévastateur.“Afghanistan : la guerre des talibans contre les femmes”, un épisode de Garance Muñoz. Réalisation Amandine Robillard.Un épisode diffusé pour la première fois le 28 mars 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
« Notre pays est en danger parce que nous sommes au risque du surendettement », c’est « une malédiction qui n’a pas d’issue ». Ces dernières semaines, François Bayrou a multiplié les déclarations pessimistes quant à l’état des finances publiques du pays. Le premier ministre dramatise l’enjeu à quelques jours d’un vote de confiance de l’Assemblée nationale qui pourrait le voir chuter sur cette question.La dette française a atteint, fin mars, 114 % du produit intérieur brut. Les économistes le jugent-ils si inquiétants ? Pourquoi les leviers à actionner pour la réduire proposés par le premier ministre sont-ils largement contestés par les oppositions ? Et que proposent-elles comme mesures alternatives pour assainir les comptes publics. Etat des lieux dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde » avec Denis Cosnard, journaliste au service politique du Monde.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Florentin Baume. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Musiques : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extraits de deux conférences de presse tenues par François Bayrou le 15 juillet 2025 et le 25 août 2025, de son intervention le 26 août 2025 lors de la rentrée syndicale de la CFDT, d’une interview de Gabriel Zucman sur France Inter le 11 juin 2025 et de l’allocution télévisée d’Emmanuel Macron, le 15 mars 2020.Cet épisode a été publié le 5 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Les internautes connectés de bon matin au stream de Jean Pormanove, le 18 août, ne l’ont compris que plus tard, mais ils ont assisté à sa mort, en direct. Jean Pormanove, de son vrai nom Raphaël Graven, était une star française de la plateforme de streaming Kick. Sa mort a interrompu un live qui a duré plus de deux cent quatre-vingt-dix-huit heures, soit douze jours, avec ses acolytes dont les surnommés Coudoux, Safine et Narutovie. Douze jours au cours desquels il a subi, de la part des deux derniers, des coups, des étranglements et des humiliations en tout genre, sans interruption et sous les encouragements des spectateurs. Car c’était le concept même de cette chaîne de streaming, présentée comme humoristique.Les enquêteurs ont écarté l’hypothèse d’une mort causée directement par ces violences. Mais la mort de Jean Pormanove, jusque-là inconnu du grand public, soulève de nombreuses questions. Le streameur pouvait-il consentir aux violences qui lui étaient infligées ? Quelle était l’ampleur de ce business de l’humiliation ? Comment ces contenus violents ont-ils pu être diffusés sans la moindre modération ? Et quelle responsabilité pour Kick, la plateforme qui les hébergeait ?Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Jérôme Lefilliâtre, journaliste au service Société du Monde, et Olivier Clairouin, chef du service Pixels du Monde, répondent à toutes ces questions.Un épisode d’Adélaïde Tenaglia, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits de streams de Jean Pormanove diffusés sur Kick et d’une vidéo de la chaîne YouTube de Narutovie.Cet épisode a été diffusé le 4 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Un « devoir moral » et une « exigence politique » : c’est ainsi qu’Emmanuel Macron qualifie son choix de reconnaître la Palestine en tant qu’Etat. Le président français doit officialiser cette reconnaissance lors de l’Assemblée générale des Nations unies, à New York, qui se tiendra du mardi 9 au mardi 23 septembre.Alors que le gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou orchestre l’anéantissement de la bande de Gaza et accélère l’annexion de la Cisjordanie, M. Macron espère insuffler une nouvelle dynamique internationale et construire un chemin vers la paix. Cette dynamique est bel et bien enclenchée puisque le Canada, l’Australie, le Royaume-Uni et la Belgique ont également annoncé leur intention de reconnaître l’Etat de Palestine en septembre.Le projet de M. Macron consiste à remettre au centre du jeu diplomatique la solution à deux Etats, c’est-à-dire le règlement du conflit israélo-palestinien par la création de deux Etats distincts, l’un arabe et l’autre juif. Une feuille de route qui ulcère le gouvernement israélien, Benyamin Nétanyahou étant allé jusqu’à accuser le président français d’« alimenter le feu antisémite ».Cette solution à deux Etats est-elle encore réaliste ? Quelles conditions le locataire de l’Elysée a-t-il posées pour acter la reconnaissance de la Palestine, notamment vis-à-vis du Hamas ? Et de quelle manière les autorités israéliennes œuvrent-elles pour anéantir la perspective d’un Etat palestinien ?Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Gilles Paris, éditorialiste au Monde et ancien correspondant à Jérusalem, analyse le choix d’Emmanuel Macron et ses conséquences.Un épisode de Garance Muñoz. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Réalisation : Amandine Robillard. Dans cet épisode : déclaration du président français, Emmanuel Macron, le 30 mai 2025 ; extrait d’un discours du ministre des finances israélien, Bezalel Smotrich, le 14 août 2025 ; extrait d’une archive du JT de France 2, diffusée le 13 septembre 1993 ; extrait d’un discours de Mohammed Ben Salman, le prince héritier d’Arabie saoudite, le 11 octobre 2023.Cet épisode a été diffusé le 3 septembre 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Il a fait son grand retour aux Etats-Unis. Vendredi 15 août, le président russe, Vladimir Poutine, a posé le pied sur la base américaine d’Anchorage, en Alaska, avant de fouler un long tapis rouge et de s’entretenir en tête à tête avec Donald Trump dans la limousine présidentielle. Cette réhabilitation spectaculaire du maître du Kremlin sur la scène internationale devait être le point d’orgue des efforts diplomatiques entrepris par le locataire de la Maison Blanche sur le dossier ukrainien, au cœur de l’été.Depuis, cependant, les discussions se sont enlisées. Aucun accord de cessez-le-feu n’a encore été trouvé. Et si le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, travaille toujours à obtenir des garanties de sécurité, de concert avec les Européens, Vladimir Poutine n’a en rien infléchi sa position.Que faut-il retenir de toute cette séquence diplomatique ? Pourquoi les différents protagonistes ont-ils subitement accepté de se rencontrer pour discuter ? Et à quelles fins, alors que le peuple ukrainien subit chaque jour les bombardements russes ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Sylvie Kauffmann, éditorialiste au Monde, analyse les derniers mouvements diplomatiques sur le front ukrainien.Un épisode de Marion Bothorel. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extraits d’une interview d’Emmanuel Macron accordée à LCI, le 19 août ; du direct de France 24 et de la conférence de presse donnée par Donald Trump et Vladimir Poutine à Anchorage, le 15 août ; de la réception de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche, le 28 février.Cet épisode a été diffusé le 2 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
A Strasbourg 28 °C en décembre, de la neige à Marseille par 7 °C, un pictogramme « grand soleil » malgré des averses prévues… Les exemples se comptent par dizaines. Au cours de l’année 2024, l’application et le site de Météo-France ont affiché des erreurs, voire des aberrations à répétition.En cause : Alpha, une base de données automatisée qui produit les prévisions météorologiques destinées au grand public. Lancé en novembre 2023, ce nouvel outil était censé faire le travail d’une cinquantaine de prévisionnistes, alors que Météo-France a connu une baisse de ses effectifs de 30 % entre 2008 et 2024.Cependant, les couacs à répétition ont entraîné une crise de confiance, dont l’institut commence à peine à sortir. Une crise d’autant plus commentée que les prévisions revêtent une importance cruciale à l’heure du changement climatique, qui voit se multiplier les événements météorologiques de plus en plus extrêmes.Dans ces conditions, pourquoi Météo-France a-t-il fait le choix de l’automatisation ? Près de deux ans après cette réforme, l’opérateur est-il à la hauteur de l’enjeu climatique qui s’annonce ? Réponses dans cet épisode de « L’Heure du Monde » avec Audrey Garric et Matthieu Goar, journalistes au service Planète du "Monde".Un épisode d’Adélaide Tenaglia. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Musique originale : Amandine Robillard. Réalisation : Quentin Tenaud.Cet épisode a été diffusé le 1er septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Si précieux soient-ils, nos souvenirs d’enfance nous échappent. Images brouillées, récit brouillon… Quand l’envie nous prend de les convoquer, force est de constater que ce qu’il en reste, c’est souvent du flou. Ce phénomène porte un nom : l’amnésie infantile. Comprenez : l’incapacité, une fois adulte, à se remémorer des évènements vécus dans la petite enfance. Personne, ou presque, ne se souvient de ses expériences vécues avant l’âge de 2 ou 3 ans. Et l’accès à des souvenirs antérieurs à l’âge de 5 ou 6 ans reste difficile.Comment les souvenirs se forment-ils dans le cerveau des jeunes enfants ? Pourquoi disparaissent-ils ensuite ? La mémoire les a-t-elle supprimés ou sont-ils simplement cachés quelque part dans notre cerveau ?Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Florence Rosier, journaliste scientifique au Monde, répond à toutes ces questions et nous raconte les dernières découvertes des neurosciences en la matière.Un épisode écrit par Claire Leys et présenté par Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Thomas Zeng. Musiques originales : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : lectures d’extraits de Pour que tu ne te perdes pas dans le quartier, de Patrick Modiano ; Psychopathologie de la vie quotidienne, de Sigmund Freud ; Du côté de chez Swann, de Marcel Proust. Extrait du film Vice-Versa, de Pete Docter et Ronnie Del Carmen, et du concerto Les Quatre Saisons d’Antonio Vivaldi.Cet épisode a été initialement publié le 18 novembre 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Depuis le 6 février 2025, l’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité est une matière scolaire comme les autres. Elle dispose d’un programme national qui détaille ces enseignements pour chaque niveau, du CP à la terminale. Fruit de deux ans de réflexion et de travaux, il doit être mis en œuvre à partir de la rentrée de septembre 2025. Le chemin a été long pour parvenir à un programme intégrant l’enseignement de sujets tels que la connaissance de son corps, l’égalité filles-garçons et le consentement, sans trop froisser les parents, qui pour certains se montraient sceptiques ou réticents.Ce projet a d’ailleurs fait l’objet d’une campagne de désinformation de la part d’associations issues de la droite conservatrice et de l’extrême droite, selon lesquelles ces enseignements n’ont pas leur place à l’école. Pourtant, l’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité est en théorie obligatoire à l’école depuis plus de vingt ans, à raison de trois séances par an. Mais dans les faits, ces thématiques restent peu souvent enseignées, à cause d’un manque de moyens, de temps et de formation des professeurs.Ce nouveau programme est-il en mesure de garantir l’accès à une éducation à la sexualité à tous les élèves de France ? Que contient-il exactement ? Et pourquoi suscite-t-il l’inquiétude de certains parents ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Sylvie Lecherbonnier, journaliste au Monde à la rubrique Education, nous répond.Un épisode d’Adélaïde Tenaglia. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : reportage au collège Rodin à Paris ; extrait de l’émission « Pascal Praud et vous » d’Europe 1, le 26 novembre 2024 ; de l’intervention d’Alexandre Portier, ex-ministre délégué chargé de la réussite scolaire et de l’enseignement professionnel, lors des questions au gouvernement au Sénat, le 27 novembre 2024 ; du journal de 20 heures de TF1 du 28 janvier 2014.Cet épisode a été publié le 4 mars 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Il avait juré de ne fermer aucune usine en cas de rachat du groupe Arcelor. Grâce à cette promesse, le milliardaire indien Lakshmi Mittal avait convaincu, en 2006, les actionnaires d’Arcelor d’accepter son offre publique d’achat (OPA), via son entreprise Mittal Steel Company.Près de 20 ans plus tard, le constat est clair : la promesse n’a pas été tenue. Dans l’est de la France, les anciens salariés des usines de Gandrange et Florange Moselle en ont fait les frais, lors de la fermeture des hauts-fourneaux de leurs usines, en 2008 et en 2012. Aujourd’hui, ce sont ceux de l’usine de Dunkerque – plus gros site français du groupe – qui déchantent, alors que la direction d’ArcelorMittal a annoncé en avril sa volonté de supprimer des centaines d’emplois dans ses sites du nord de la France.De quoi le désinvestissement d’ArcelorMittal en France est-il le symbole ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Bastien Bonnefous, journaliste en charge de l’industrie au Monde, nous raconte la grande histoire d’ArcelorMittal.Un épisode de Cyrielle Bedu, réalisé par Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : extraits d’interview de Gaëtan Lecocq, secrétaire général CGT d’ArcelorMittal Dunkerque sur France 3 Hauts-de-France le 1er mai 2025 ; de l’allocution de François Hollande à Florange en 2012 ; de l’interview d’Emmanuel Macron sur TF1 le 13 mai 2025.Cet épisode a été initialement publié le 23 mai 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Le 2 mai, un documentaire a révélé les solutions d'une grande chasse au trésor, la "Chouette d'or", en cours depuis trois décennies. Elle avait été lancée en 1993. Le principe : une statuette de chouette en bronze a été enterrée quelque part en France. Pour la trouver, il faut résoudre onze énigmes sibyllines consignées dans un livre. Celui ou celle qui parviendra à localiser et déterrer la statuette pourra l’échanger contre le vrai trésor : une chouette une chouette d’or, d’argent et de diamants d’une valeur d’un million de francs (environ 150 000 euros).Après plus de trente ans de mystère, la Chouette a donc livré ses secrets aux amateurs de chasse au trésor qui la poursuivaient sans relâche. Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Morgane Tual, journaliste au service Pixels du Monde, nous raconte les multiples péripéties de la Chouette d’or et comment cette chasse au trésor est devenue légendaire.Un épisode d’Adélaïde Tenaglia. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Thomas Zheng. Musiques : Amandine Robillard et Epidemic Sounds. Dans cet épisode, extrait du journal télévisé de France 3 Méditerranée du 9 novembre 1993. Extrait de la chanson « La Quête » d’Orelsan. Extrait d’une vidéo diffusée sur la chaîne YouTube des Editions de la Chouette d’or.Cet épisode a été initialement publié le 29 octobre 2024 et mis à jour le 7 mai 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Sur les réseaux sociaux, un genre nouveau de témoignage face caméra se fait remarquer : celui de jeunes atteints d’un cancer. Jour après jour, et sans tabou, ils détaillent l’évolution de leur maladie. Le nombre croissant de ces vidéos interpelle, au point de s’interroger sur une possible « épidémie » de cancers précoces, touchant des sujets parfois âgés d’une vingtaine d’années seulement.Le terme « épidémie » a été employé dès 2022 dans une revue scientifique britannique. En France, les médecins en usent plus modérément, même si un mouvement, rassemblant plusieurs institutions et de nombreux chercheurs, tente d’alerter ces dernières années sur la hausse attestée des cancers précoces. L’Institut national du cancer a, par exemple, lancé au mois d’avril une campagne de prévention à destination des 18-25 ans, sur Tiktok, pour expliquer les facteurs aggravant les risques de développer un cancer.Comment expliquer cette hausse de cancers précoces ? Quels types de cancers sont concernés ? Dans cet épisode du podcast de « L’Heure du Monde », Pascale Santi et Sandrine Cabut, journalistes santé au service Sciences du Monde, décortiquent les dernières données scientifiques disponibles à ce sujet.Un épisode de Marion Bothorel, réalisé par Quentin Tenaud. Musiques originales : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d’une campagne publicitaire de l’Institut national du cancer ; d’une interview accordée par Théo Askolovitch à Konbini le 12 octobre 2024 ; de vidéos publiées sur Tiktok par les utilisateurs Positive A, Tim Nct, Léonore Renaut, Lou JCB, Louandewing, Maëva Desteff qui nous ont autorisés à partager ces extraits. Nous les en remercions.Cet épisode a été initialement diffusé le 5 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Les chercheurs se sont posé la question avant même que le label « agriculture biologique » ne soit créé. Dès la fin des années 1920, des scientifiques ont voulu savoir si les aliments cultivés à l’aide d’engrais de synthèse avaient des effets sur la santé des animaux qui les consommaient. Et la réponse fut oui, notamment sur la reproduction. Ces résultats ont été retrouvés dans une douzaine d’autres études menées jusque dans les années 1980, sur toutes sortes d’animaux : rats, lapins, poules, bovins… Avant même qu’un cahier des charges de l’agriculture biologique existe (il a été reconnu en France en 1981), on pressent déjà qu’elle est meilleure pour la santé. Du moins celle des animaux.Et pour les humains ? Les études sont difficiles à mener, mais montrent aussi les bénéfices d’une alimentation biologique. Si bien que le Programme national nutrition santé, qui a pour objectif l’amélioration de la santé de la population française, recommande d’aller, depuis 2019, vers plus d’alimentation issue de l’agriculture biologique.Pourtant, sur les réseaux sociaux, dans certains médias et même sur le site d’institutions publiques comme l’Institut national du cancer, les bénéfices du bio continuent d’être remis en question. Alors pourquoi ce sujet semble si sensible en France ? Que dit exactement la science ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Stéphane Foucart, journaliste au service Planète du Monde, décortique les principales études scientifiques interrogeant les effets d’une alimentation issue de l’agriculture biologique sur la santé.Un épisode d’Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Quentin Tenaud et Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Adèle Ponticelli.Cet épisode a été initialement publié le 18 juin 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
Mais où sont donc passés les Fingers ? Depuis quelques mois, ces biscuits chocolatés, très sucrés, et commercialisés par le groupe Mondelez se sont volatilisés des rayonnages français, sans la moindre explication. A l’instar des Figolu, en 2015, d’autres biscuits ont déjà disparu, avant de réapparaître, à la suite d’une mobilisation des consommateurs. Cette fois, l’histoire semble être différente.Alors comment expliquer qu’un produit aussi connu puisse disparaître sans explications ? Est-ce que cela pourrait être un coup de communication ? Et qu’est-ce que cela dit de notre rapport à l’alimentation quand nos produits fétiches sont devenus massivement industrialisés ?Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Coline Clavaud-Mégevand, journaliste, revient sur l’enquête qu’elle a menée sur le sujet pour « M Le magazine du Monde ».Un épisode produit et présenté par Adèle Ponticelli avec l’aide de Marion Bothorel. Réalisation : Quentin Bresson. Musiques : Amandine Robillard.Cet épisode a été initialement publié le 16 décembre 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
« Le 2 avril 2025 sera à jamais gravé dans les mémoires comme le jour de la renaissance de l’industrie américaine, le jour de la reconquête du destin de l’Amérique, et le jour où nous avons commencé à rendre sa richesse à l’Amérique », avait déclaré Donald Trump lors de son « jour de la libération », quand le président américain avait provoqué un chaos mondial en annonçant des droits de douane massifs sur tous les pays commerçant avec les Etats-Unis. Avant de renoncer à les appliquer quelques jours plus tard, sauf pour les échanges avec la Chine.Les assauts du président américain ne sont pas restés sans réponse de Pékin. Le président chinois, Xi Jinping, a répliqué en appliquant des droits de douane similaires contre les produits américains. Une escalade qui aboutit aujourd’hui à des chiffres prohibitifs : 145 % de droits de douane imposés aux produits chinois qui entrent aux Etats-Unis, 125 % sur les produits américains qui entrent en Chine. Autrement dit : un coup d’arrêt massif et brutal sur les échanges entre ces deux pays.Pourquoi Donald Trump est-il à ce point décidé à faire couler la Chine ? Combien de temps l’économie chinoise peut-elle tenir ? Le dragon chinois est-il de taille face à l’aigle américain ? Et quelles conséquences pour le reste du monde, notamment l’Europe ? Harold Thibault, correspondant du Monde à Pékin, répond à ces questions dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde ».Un épisode de Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Tenaud. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait d’un discours de Donald Trump, le 2 avril 2025 ; extrait d’une émission de LCI, le 11 avril 2025.Cet épisode a été initialement publié le 25 avril 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
« Ce n’est pas à un responsable politique d’employer ces termes, c’est aux historiens, en temps voulu. » Questionné, sur le plateau de TF1, sur son refus de qualifier la situation à Gaza de génocide, Emmanuel Macron a botté en touche, le 13 mai. Depuis, le ton du président de la République à l’égard des responsables israéliens s’est fait plus menaçant, mais il n’a pour l’heure pas changé de vocabulaire pour caractériser la catastrophe humanitaire en cours dans la bande de Gaza.Une lourde charge historique pèse sur les responsables politiques lorsqu’ils invoquent cette notion, inventée après la seconde guerre mondiale par Raphaël Lemkin, juriste polonais d’origine juive réfugié aux Etats-Unis. En créant ce mot, Lemkin voulait empêcher la reproduction « de l’innommable » : la Shoah. L’interdiction du génocide a ensuite été adoptée par l’Organisation des Nations unies comme un « principe fondamental qui s’applique en tout et sans exception à toute l’humanité ».Les juges de la Cour internationale de justice (CIJ) ont estimé, dès le 26 janvier 2024, qu’il existait un risque « plausible » de génocide à Gaza. Alors, quels sont les critères juridiques d’un génocide ? Pourquoi une large partie de la communauté internationale refuse d’employer ce terme pour qualifier le sort des Gazaouis ? Que font les instances juridiques mondiales, telle que la CIJ, face à ce conflit ? Dans cet épisode du podcast « L’Heure du Monde », Stéphanie Maupas, journaliste spécialiste de la justice internationale au Monde, fait la lumière sur cette notion aussi sensible que complexe.Un épisode de Marion Bothorel et Claire Leys, réalisé par Quentin Bresson. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits de l’interview d’Emmanuel Macron sur TF1 le 13 mai 2025 ; d’une intervention de Raphaël Lemkin dans l’émission « Heure du Culture française » diffusée le 21 octobre 1948 ; d’une émission de l’Université Radiophonique internationale diffusée le 20 janvier 1949 ; des prises de parole du ministre israélien Bezalel Smotrich les 5 et 6 mai 2025 ; d’une vidéo du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou postée sur ses réseaux sociaux le 19 mai 2025 ; de la déclaration devant le Conseil de sécurité du responsable des affaires humanitaires de l’ONU, Tom Fletcher, le 13 mai 2025 et d’un discours d’Emmanuel Macron prononcé le 30 mai 2025.Cet épisode a été initialement diffusé le 4 juin 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
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Comments (3)

TimFlex

Thanks!

Apr 5th
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Reuven Emunah

Quelle journaliste de pacotille! Je donne une liste de questions à un fixeur et puis ils remplissent comme ils veulent ces menteurs sans preuves et sans vérification. Et puis si au passage on peut ou lier de mentionner les terroristes dans l'hôpital, c'est encore mieux. N'appelez juste pas ça une enquête, vous faites honte au journalisme

May 8th
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Isidore

Sujets toujours intéressants. Format parfait 👍

Jan 11th
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